Autour de mon exposition LINS CONSOLANTS.
Précision : durant 6 jours , nous avons eu le privilège d'être hébergés
au château jouxtant la chapelle où se tenait mon exposition.
4 juillet - 1er soir, aperçu du Parc, promenade canine.
6 juillet
- 3ème matin, l'exposition est gardée, aussi suivons-nous les
recommandations faites aux exposants : profiter des matinées pour
visiter
le Festival et les environs. Direction Sotteville sur Mer.
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| Les fameux gris doux normands et les falaises de Caux |
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| Enfyeld, implore un départ hors galets, mouettes, écume |
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| En tenue adaptée au climat, je prends la pose, l'air de rien, tandis que Bedje, en haut à gauche, songe à son petit confort perdu. |
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| Quelques gris galets ont empli mes poches... |
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| Direction Le Bourg-Dun, chapelle Saint-Julien, hameau de Flainville: "Le corps est un temple", sculpture textile blanche de Karine Jollet. |
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| 7 juillet - 4ème matin, je pars faire du tourisme industriel à l'usine Terre de lin : vidéo, ateliers de teillage et de peignage. |
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| Occultant bruit et poussière, je trouve des sculptures partout |
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| Filasse peignée de qualité supérieure en attente de livraison |
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| Surprise en fin de visite :
des entonnoirs déversent dans de grands bidons des rubans sensuels de
filasse de lin peignée. A la sortie, chaque visiteur
peut repartir avec une tresse ou des brins en vrac. Malgré le colis reçu
pour préparer mon installation, j'en prends pour le plaisir d'y plonger
doigts et nez. Pas étonnant que cette soyeuse chevelure végétale blond
cendré aux odeurs de crin, voire d'écurie
fraîchement nettoyée, serve parfois à confectionner des perruques de
théâtre. |
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| 9 juillet - 6ème matin
- Le Festival s'est achevé hier soir. Rangement des bouquets-fagots de
lin ayant délimité le parcours des visiteurs. Décrochage de Lins consolants. |
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| A la fin de la route, tournez à droite... |
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